• Mon blog, votre blog aussi...
Citoyen Blogueur
05. mars
2011
Société
2

L’irresponsabilité des médecins mauritaniens

Partant du centre de santé de Sebkha, en arrivant à l’hôpital national de Nouakchott, un homme a pris dans ses bras, à bord d’un taxi, son bébé qui venait de naître. Le chauffeur de l’ambulance était absent. L’enfant, entre la vie et la mort pendant ce transfert chaotique, n’a pu être sauvé. Le récit de Abdoul samba Diop est un douloureux concentré de ce qui se passe dans certaines structures de santé de la Mauritanie ; inconscience, arrogance, négligence….

Le père tenant son bébé

Le Mardi 1er février, à 7 heures, j’emmène mon épouse enceinte au centre de santé de Sebkha. A notre arrivée, on nous dit d’attendre la sage-femme. A 09 heures, elle arrive. Après avoir consulté ma femme, elle l’entraîne dans un grand salon rempli de courant d’air avec des vitrines cassées, des lits sans draps… A 13 heures la sage-femme rentre chez-elle et laisse madame sous la surveillance d’une accoucheuse. J’interpelle un homme en blouse blanche pour lui demander le médecin chef. Il me répond qu’il ne vient que pour 30 minutes et repart ; on ne le revoit que le lendemain matin. A 21 heures, les cris de mon épouse se font entendre. Il faut encore appeler les infirmières ou les accoucheuses par téléphone. Toute notre attention fut troublée par les cris d’une handicapée mentale en travail. Finalement, j’ai pu, grâce à un infirmier, rencontrer le Docteur chirurgien. Ce dernier consulte ma femme et lui fait une échographie pour voir la position du Bébé. Le chirurgien me fait entendre que si d’ici une heure elle n’accouche pas, il lui faudra une césarienne. À 22 h 00, elle accouche sous nos yeux, devant la porte de la maternité, d’un beau garçon qui respire à peine. A défaut de dispositif pour le réanimer, à défaut de médecin, l’accoucheuse me demande de prendre mon fils et de l’amener à l’hôpital national, à la pédiatrie pour qu’il soit sauvé. Le chauffeur de l’ambulance est introuvable. J’ai alors embarqué mon nouveau né entre la vie et la mort dans un taxi. Arrivée à la réanimation de l’Hôpital, le docteur Sy demande pourquoi le bébé n’a pas été amené plutôt. Je lui fais comprendre que je suis venu en taxi du centre de Sebkha. Il me prescrit une ordonnance que je paie rapidement. Quelques minutes après, le bébé reçoit une injection. Mon bébé émet son premier cri. Le docteur me dit de retourner voir l’état de la maman. Le Bébé va rester sous couveuse. Je suis reparti. A mon arrivée, mon épouse me demande ou est son enfant. Toute la nuit, je n’ai pas pu fermer l’œil. Le lendemain, à 07h 30, je reviens à la pédiatrie. Je tombe sur un autre médecin du nom de Kane Seydou. Je lui demande l’état de mon bébé. Il me conduit sans ménagement, en me disant, ne pas être concerné par mon cas. A 10 h15, j’étais encore devant la pédiatrie. C’est à cet endroit qu’une infirmière me dit que mon bébé est décédé. Ce que je trouve bizarre, c’est que « la carte d’identification de décédé » de mon enfant est signé et cacheté par ce même docteur Kane, qui vient à peine de me dire ne pas être concerné par mon cas! L’infirmière me demande de passer à la caisse avant de prendre le corps de mon bébé. Après avoir payé la caution, je prends le petit corps inerte. Je le ramène à la maison pour que sa mère le regarde pour la dernière fois. Ensuite, je prends la route du cimetière.

Médecin irresponsable

Comment pouvez nommer ce que se passe, dans nos hôpitaux, en Mauritanie, Je ne souhaiterais à personne de tomber malade dans ce pays. Surtout  quelqu’un qui à l’habitude de bénéficier de soins de qualités ailleurs, car c’est la catastrophe ici…Les médecins n’ont aucune compétence et tous les produits, dans les pharmacies, proviennent de l’Inde…

Lire la suite
05. mars
2011
Société
0

Pris de jalousie, il renverse son épouse:

Jalousie maladive

Dans la journée du Samedi 12 février, un mauritanien nommé Ali, issu de la communauté touarègue, fou de jalousie, renverse son épouse, Mekfoula, avec son véhicule, au moment où celle-ci discutait avec un autre homme qui est l’un de ses proches, selon elle.

D’après le reportage, diffusé par la chaîne Alaan, qui émet de la zone franche de Dubai, Mekfoula s’en est sortie avec une fracture de la jambe droite et plusieurs hématomes.

« En sortant de chez moi, j’ai croisé un proche avec qui, j’ai eu un échange de salutations, c’est à ce moment que mon mari qui venait en voiture a foncé sur moi et m’a renversé. Je le connaissais violent et jaloux, mais pas au point de vouloir porter atteinte à ma vie » dit Mekfoula.

Menacé par les parents de son épouse, Ali, s’en remet à la chaîne précitée pour demander pardon. « Il est vrai, qu’à la vue de ma femme discutant avec quelqu’un que je ne connaissais pas, je n’ai pas pu me contrôler. Suite à l’intervention des autorités et des proches, ceux-ci m’ont compris et ont favorisé un arrangement car j’ai beaucoup regretté mon acte. Maintenant, à travers votre chaîne, je demande, solennellement pardon ».

Et vous, jusqu’où pourrait aller votre jalousie ?

Lire la suite
05. mars
2011
Politique
1

Une tunisienne accuse des agents de ‘’chantage’’ et de ‘’mauvais comportements’’

Le journalisme

La tunisienne Sonia Zdouka a déclaré qu’elle a été la victime de ‘’chantage’’ et de ‘’vexations’’ de la part d’agents de la force publique de Mauritanie, sur la route menant de Nouakchott à Rosso, de même qu’au point de passage du bac, de la part des douaniers, cette fois.

Dans un témoignage enregistré, Sonia a déclaré qu’un douanier a refusé de lui délivrer un document de passage avant qu’elle lui remette la somme de 4.000 Ouguiyas, somme qu’elle lui a remis, selon ses dires.

A d’autres arrêts, il lui a été demandé de verser des sommes allant de 500 à 1.000 Ouguiyas ; Sonia affirme que les agents de police ont, sur la route de Rosso à Nouakchott procédé à des fouilles intrusives sur ses affaires, manipulant ses effets personnels, et confisquant son passeport pour une demi-heure, ou plus.

Sonia affirme qu’elle a été jointe au téléphone par des hommes disant appartenir aux forces de l’ordre, et qui lui demandaient son nom, la nature de son travail, son lieu de résidence ; Elle affirme avoir conservé le numéro d’un homme qui indique qu’il fait partie des forces de l’ordre qui l’ont arrêté sur l’axe Nouakchott-Rosso.

Sonia, qui ne voit aucun motif justifiant de tels comportements indécents, vis-à-vis d’elle et de son accompagnateur, de la part des forces de l’ordre mauritaniennes, travaille comme agent commercial pour la société tunisienne ‘’Dar El Masdar’’, qui intervient dans la recherche d’investissements, et la découverte d’opportunités de travail, à l’extérieur de la Tunisie.

La jeune femme indique qu’elle était venue explorer les possibilités d’activités en Mauritanie, mais qu’elle ne s’attendait pas à être l’objet de tels comportements.

Apparemment, c’est devenu une habitude pour eux, de racketter et de d’effrayer les voyageurs. Plusieurs nationalités se sont plains des tracasseries sur cette voie, Rosso- Nouakchott. Est- ce que le président Mohamed Ould Abdel Aziz est au courant de ce que font ses agents de l’ordre, qui salissent quotidiennement son gouvernement et son image. Et à ses agents mauritaniens, savent-ils, combien de mauritaniens vivent hors de la Mauritanie ? Et que si ces derniers étaient traiter de la sorte, quel aurait été leur réaction ?

Lire la suite
05. mars
2011
Société
0

La soif étouffe les rapatriés de Hamdallaye :

Crise d'eau

 

Voilà trois mois maintenant que les deux forages qui alimentent en eau potable le site des rapatriés de Hamdallaye sont tombés en panne. Hamdallaye, est une localité qui concentre environ 1005 âmes. Elle se situe à 25 Km de Boghé sur la route menant vers Rosso.

Selon les notables de cette localité, les autorités locales et l’ANAIR sont bien informés du problème mais n’ont pas réagit jusqu’ici. Les femmes et les enfants parcourent plusieurs kilomètres par jour à la recherche de ce liquide précieux pour étancher la soif des habitants et abreuver les animaux.

« Les populations de Hamdallaye sont épuisés par cette situation qui perdure et la supporte de plus en plus mal» a martelé le chef du site ‘’Amadou Aliou Bâ’’, entouré de Kalidou El Hadj et de Alassane Samba Sow.

Nous savons tous que l’effort de l’Etat mauritanien, vis-à-vis des rapatriés, était insuffisant mais aujourd’hui, la situation est devenue pire fait remarquer Amadou Aliou. Cette situation traduit clairement le mépris des représentants de l’Etat vis à vis des rapatriés, affirme le porte parole de ces sages.

« Les intermédiaires qui sont entre l’Etat et nous, les rapatriés, ne sont pas à la hauteur » lâche Kalidou El Hadj notable de Hamdallaye, visiblement au bout des nerfs. Les habitants de Hamdallaye par la voix de leurs représentants ôtent désormais toute confiance à l’ANAIR qui, à leurs yeux ne remplit plus sa mission. Et c’est un message qu’ils adressent au chef de l’Etat, le président Mohamed O Abdel Aziz.

L'ANAIR et les notables

Pendant que les populations de Hamdallaye meurent de soif, des responsables de l’ANAIR se pavanent dans des véhicules rutilants s’ils ne sont pas entrain de jacasser sous les climatiseurs dans leurs bureaux chics. Et les sommes faramineuses dépensées par le HCR pour acheter des ordinateurs pour équiper des préfets, Walis, commissaires de police, commandants de Brigade ne se justifient pas au moment où les rapatriés crèvent de soif.

A quand, le changement de comportements inhumains des africains envers leurs propres frères africains ?

Lire la suite
12. févr.
2011
Société
0

L’inspecteur ripou:

Inspecteur pourri

Ely Ould Mohamed Vall, un policier en service à Rosso (frontière avec le Sénégal) est passé inspecteur durant la première transition (2005/2007) quand son oncle et homonyme dirigeait le CMJD. Depuis quelques temps, cet inspecteur dont l’ascension a été plus que fulgurante assure l’intérim du commissaire de police nouvellement marié et souvent absent. Cet inspecteur Ely s’est illustré, il y a quelques jours, dans une sale affaire de ‘’dakhal chi’’.

En effet une patrouille de police qu’il dirigeait lui-même, a arrêté, dans la nuit du lundi 07 Février 2011, un jeune boucher du nom de Dah Ould Mokhtar Ould Ahmed Sidi, près de la gare routière de Rosso. Le jeune Dah était venu prendre son repas.

Selon le boucher, les policiers ont d’abord récupéré sa recette du jour (87 000 ouguiyas, environ 230 euros) avant de le battre et de l’emmener au Pk 7 pour le menacer avec un couteau. Par la suite, ils l’ont ramené devant le siège de la BMCI (Banque Mauritanienne pour le Commerce International). Le jeune boucher leur a demandé de le conduire au commissariat, ce qu’ils ont refusé.

Les policiers ont préféré le ramener à l’endroit où ils l’avaient arrêté, c’est-à-dire vers la gare routière en lui rendant 27000 ouguiyas sur les 87000 ouguiyas qu’ils lui avaient pris.

Le lendemain, le boucher se rend avec des membres de sa famille à la direction de la sureté de Rosso. Après avoir entendu la version des plaignants le DRST les installe dans un bureau et convoque l’inspecteur. Ce dernier fait un compte rendu (infidèle) de leur patrouille de la veille. Quand le DRST fait entrer les plaignants, le jeune boucher n’hésitera pas à désigner l’inspecteur comme étant celui qui l’a fouillé pour le détrousser. C’est alors que l’inspecteur reconnait avoir pris l’argent du jeune homme mais qu’il le lui a rendu.

un boucher

Le DRST comprenant que son inspecteur a commis une faute lourde, rembourse lui-même 60.000 ouguiyas à la victime. A la sortie des plaignants, l’inspecteur les suit pour négocier. Que ce sont-ils dit ? Toujours est- il que l’inspecteur est revenu voir la DRST, pour lui dire qu’il reconnaissait avoir commis une faute mais que la famille de la victime retirait sa plainte. Ce qui sera confirmé quelques minutes plus tard par la famille de Dah.

Le même jour pourtant la mère de la victime est revenue pour dire que son fils a été battu et que la plainte devait suivre son cours. Pour l’heure l’affaire est pendante devant les autorités compétentes. L’inspecteur en question roule encore dans la voiture de la police avec les mêmes prérogatives mais le moins qu’on puisse dire c’est que sa chute risque d’être aussi fulgurante que son ascension. (A suivre)


Lire la suite
12. févr.
2011
Société
0

Panique à Îlot K:

Feu d'artifice

Le mardi 08 Février 2011, tard dans la soirée, des feux d’artifice émanant de l’ancienne demeure de l’Ambassade de Chine, ont créé une grande panique auprès des habitants de l’îlot K et des quartiers avoisinants.

Dès les premières détonations, les populations de ces quartiers et quelques journalistes sont immédiatement sortis, croyant qu’il s’agissait d’une attaque contre l’Ambassade de France, séparée tous deux, par le lycée français et le CCF (Centre Culturel Français).

Mais, ce sont surtout les malades (et leurs visiteurs) de l’Hôpital National et du Centre de Cardiologie, qui ont été les plus effrayés par les détonations de ces pétards. En République islamique de Mauritanie, faut-il le rappeler, les feux d’artifice sont mal connus de la population.

Grande panique

Du 1er Janvier au 31 Décembre, l’on ne verra pas de feux d’artifice ; c’est seulement à quelques rares fois, que les institutions internationales, présentes dans la capitale Nouakchott, se permettent de petits moments de joie.

En effet, outre la panique, l’odeur nauséabonde de la poudre sulfurique, est restée suspendue dans l’air, pendant quelques temps.

Lire la suite
12. févr.
2011
Société
0

Une fausse agence immobilière:

l'agent immobilier

Le matin du Vendredi 11 Février, une foule immense était regroupée devant le commissariat du Ksar. Un supposé foncier venait d’être conduit à ce commissariat accompagné des plaignants, de leurs familles et amis.

Mr Seydou Anne et Mr Birane Tall ont, tous les deux, été bernés par ce « Samsara ».

Selon Mr Seydou Anne qui voulait disposer d’un terrain pour construire un toit à ses enfants, comme tout bon père de famille, a donc contacté l’agence immobilière de Mr L.M., situé en plein centre ville. C’est aussitôt que ce dernier lui a fait comprendre qu’il avait un terrain ‘’bien placé’’ à vendre, en lui montrant tous les papiers.

Hélas ce n’était que du bluff. Après d’âpres négociations « l’agent immobilier » encaisse 1.000.000 d’ouguiyas, environ 2700 euros. Ce n’est qu’au moment de transférer le ‘’permis d’occupation’’, qu’il se rendra compte qu’il a été berné.

Quant au second plaignant, Mr Birane Tall, c’est pour son fils résidant hors du pays, qu’il a voulu acquérir un terrain à usage d’habitation. Hélas comme pour le premier, le ‘’Samsara’’ a empoché 1.300.000 ouguiyas, environ 3500 euros.

vendu à plusieurs personnes

Et c’est au moment où il revenait pour installer des repères sur le terrain qui lui a été cédé, que Mr Tall s’est rendu compte de la supercherie, ceci après avoir trouvé sur les lieux, des maçons qui lui ont fait comprendre qu’ils ont démarré les travaux de construction pour un autre individu.

Ce qui est plus grave dans ces escroqueries, est que les victimes perdent non seulement leur argent, mais aussi la confiance de ceux qui leur ont confié cette tâche. Malheureusement, la plupart des escrocs restent impunies parce qu’il est difficile de prouver qu’il y’a bel et bien eu tromperie. Mais c’est souvent, les commissaires de police, eux-mêmes parce que corrompus, qui font trainer ces dossiers d’escroquerie.

Lire la suite
12. févr.
2011
Société
0

Elle se faisait de l’argent facile:

argent facile

Agée de 25 ans, mariée et domiciliée à Tevragh-Zeïna, quartier chic de la capitale Nouakchott, cette jeune dame répondant au nom de Fatimétou ‘’Fatiss’’, a réussi à tromper un grand nombre de commerçant. Elle a été arrêtée ce samedi 12 février, dans le grand marché de la capitale, reconnue par l’une de ses victimes, alors qu’elle était à la recherche d’un client.

Toutes les semaines, elle cible un commerçant sur qui, elle a auparavant, recueilli le maximum d’informations avant de poser des actes. Mme Minétou, une vendeuse de voile, victime elle aussi de cette dernière, explique que la dame se présente toujours avec un petit garçon afin de proposer d’échanger des Euros en ouguiyas ou alors le contraire.

l'ouguiya

Le taux qu’elle offre, étant de loin supérieur à celui qui au coût normal sur le marché, excite les commerçants, qui assoiffés d’argent rapide et facile, s’engagent sans même se poser de questions. C’est alors qu’elle entraîne sa victime devant la maison d’une tierce personne où elle la fait poiroter avant de se fondre dans la nature avec l’argent de ce dernier.

La victime d’expliquer, que pendant quelques minutes, elle s’en prend aux occupants de la maison. Et ces derniers surpris, de lui expliquer, que la dame est inconnue de la maison, qu’elle était juste de passage pour demander après quelqu’un qu’ils ne connaissent point.


Lire la suite
12. févr.
2011
Société
0

La visite de fantôme:

un fantôme

Mr Talibouya peut, depuis ce vendredi 11 février 2011, pousser un ouf de soulagement. Durant trois vendredis, lorsqu’il revenait de la prière, il avait la désagréable surprise de constater que son tiroir caisse était vide. Toutes les suppositions lui ont traversé l’esprit, même celui d’un fantôme. Ce vendredi donc, il décida de tendre une souricière à son visiteur fantôme, en enfermant son ‘’waguava (personne employée par le boutiquier)’’, à l’intérieur de la boutique. Ce faisant, il part à la mosquée, dans l’espoir de savoir ce qui se passe véritablement dans sa boutique.

Au bout de quelques temps, le ‘’waguava’’ entend le bruit de la serrure de la porte. Aussitôt la porte ouverte, le ‘’waguava’’ aperçoit deux des dames, qui logent dans la grande maison rattachée à la boutique, entrer et se diriger vers la caisse.

deux fantômes

Avant que les deux dames ne se rendent compte du piège tendu, le ‘’waguava’’ sort en vitesse et referme la porte, alors qu’elles avaient laissé la clé à la serrure. Elles y resteront prisonnières jusqu’au retour du boutiquier, qui après avoir écouté son second, ira immédiatement à la police qui ne tardera pas à venir prendre les deux voleuses. Ces dames détenaient une autre clé de la boutique et n’hésitaient pas s’en servir

Lire la suite
»
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • 9
  • 10
Un regard sur le Monde depuis la Mauritanie

Auteur·e

L'auteur: Citoyen
Diplômé d’une maîtrise en Economie et Gestion, je me vois comme un simple citoyen du monde. J’aimerais être la plume de ceux qui ne savent s’en servir et aussi la bouche de ceux-là qui ont peur de parler. Dénoncer, attirer l’attention sur tel ou tel sujet de la vie quotidienne et qui passerait inaperçu pour la majorité d’entre nous, mais dans le même temps, donner des conseils afin que cesse toute cette injustice des hommes envers leurs frères et surtout après tout, envers eux-mêmes.

Populaires

Premier jour de l’An au cachot:
4 janvier 2011
Montre téléphone :
30 novembre 2010
Appareils pas chers et efficaces :
30 novembre 2010
Le gavage des filles maures
30 octobre 2010
La prostitution en Mauritanie
13 novembre 2010
Citoyen Blogueur © 2023
-
BLOG DU RÉSEAU MONDOBLOG
Mentions légales Centre de préférences